Septième Jour

C'est pas le jour où Dieu à décidé de pas en branler une ? J'en sais rien je suis nul en bible, en tout cas, ici c'est pas Adam et Eve, on chaume pas, septième jour ou pas, faut que ça avance ! Fritz est toujours sur le qui-vive armé de sa basse. Tiens, je viens de réaliser que c'est le jour de la fête de la musique, eh ben ça tombe bien, on le célèbre à notre manière, en faisant un nouvel album ! Guish et moi on doit aller faire les courses (eh oui, mes parties batterie sont finies donc je me tape les courses) et au moment où on arrive près du rayon "piles", je soulève le fait qu'on eusse éventuellement besoin de quelques piles. Guish me rétorque qu'il n'en est nul besoin. Nous reçevons alors un appel provenant du GSM de Cédric, nous suppliant d'acheter deux piles pour la basse de Fritz... ça a pas loupé (je reprends mon langage normal), cette fête de la musique devait impliquer une espèce de malédiction : là-haut au studio, rien n'allait plus... plus de son... plus rien... enfin, que des problèmes quoi. Ils ont d'abord cru que c'était la basse et puis en fait c'était une lampe de la tête d'ampli qui était vrillée... bref, pas de panique, on change les lampes ! Ah merde c'est plus du tout le même son !!!! Il est mortel aussi (le son) mais c'est plus du tout le même quoi... allez, devine... on recommence tout, ou plutot, Fritz doit tout recommencer... :-S
On termine la soirée en beauté en allant faire un tour sur la place du village pour y découvrir une scène avec un très vieux couple (certainement payé grassement par la mairie) assurant les festivités à coup de Joe Dassin, Michel Sardou et autres trucs du dernier centenaire. Un dernier verre et c'est retour au bercail.

A plus.